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Les plantes
sauvages indigènes
dans la roseraie
Indigènes spontanées
dans la roseraie
Indigènes ramenées d'ailleurs dans la commune
Chaque
espèce indigène
apparaissant ou réapparaissant spontanément dans la roseraie est une victoire,
une preuve vivante d'une gestion qui tâche de s'optimiser en vue du maintien
et de l'augmentation de la biodiversité des lieux.
Comme dans le cas de la
gestion raisonnée de tout espace naturel, des interventions sous forme
de désherbage manuel peuvent être nécessaires pour contrôler le caractère
exclusif
de certaines espèces telles que le liseron des haies, le gaillet gratteron
et l'ortie, qui ne seront pas éradiquées pour autant car elles ont aussi
leur rôle à jouer.
D'autres actions
ont déjà lieu depuis le début de 2003, comme la
tonte différenciée du milieu et des bords
des allées. Le fauchage avec enlèvement des
parties fauchées (exportation de l'azote) va commencer cet été 2004 dans
la parcelle où ont été plantés les rosiers sauvages provenant du Canada.
Ceux-ci ont grandement bénéficié du maintien à leur pied des conditions
locales de prairie sèche et non amendée sur sol siliceux; cela leur a permis
de produire les drageons destinés à développer une haie vive.
Indigènes
spontanées
dans la roseraie Les
plantes suivantes sont issues des graines constituant la "banque des graines
du sol" (soil seed bank en anglais), elles peuvent aussi avoir été
amenées involontairement dans certaines zones avec des terres de
remblai provenant d'autres parties de la commune, ou bien leurs graines
peuvent également avoir voyagé collées aux semelles des chaussures
des visiteurs ou du jardinier lui-même ou avoir été introduites par
des
animaux, ou même le vent.
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achillée
millefeuille
ail des ours
ail des vignes
alliaire officinale
anémone sylvie
angélique sauvage
arabidopsis
armoise vulgaire
arum tacheté
aubépine
bardane
berce sphondyle
bouillon blanc
brunelle vulgaire
bryone dioïque
bugle rampante
capselle bourse à pasteur
cardamine des prés
cardamine hirsute
cassis
centaurée jacée
céraiste aggloméré
chélidoine
cirse maraîcher
clématite des haies
compagnon rouge
coquelicot
cornouiller sanguin
crépis verdâtre
crépis verdâtre
épiaire des bois
épilobe à petites fleurs
épilobe hirsute
épilobe hirsute à fleurs blanches
épilobe sp.
épilobe sp.
épipactis helléborine
érable sycomore
eupatoire chanvrine
euphorbe réveil-matin
fausse camomille
fausse capillaire
ficaire
frêne
fumeterre officinale
gaillet gratteron
gaillet mollugine
galéopsis
géranium à tiges grêles
géranium découpé
géranium herbe à robert
géranium mollet
gnaphale des mares
groseiller à maquereaux
groseiller rouge
herbe aux écus
houblon
laiteron maraîcher
lamier pourpre
lampsane commune
lierre
lierre terrestre
linaire cymbalaire
linaire élatine
linaire vulgaire
liseron des champs
liseron des haies
luzerne lupuline
luzule champêtre
marguerite
mercuriale annuelle
merisier des oiseaux
millepertuis perforé
molène noire
morelle douce amère
mouron des oiseaux
mouron rouge
moutarde des champs
mycélis
myosotis des champs
noyer commun
origan
ortie dioïque
oseille ou patience sauvage
pâquerette
pissenlit
plantain (grand)
plantain (lancéolé)
plantain (moyen)
porcelle enracinée
porcelle enracinée
prêle des champs
prêle géante
primevère élevée
renoncule âcre
renoncule rampante
renouée des oiseaux
rue de muraille
séneçon jacobée
séneçon vulgaire
sisymbre officinal
sureau à grappes
sureau noir
tormentille
trèfle des prés
trèfle rampant (ou coucou)
vergerette du Canada
véronique à feuilles de lierre
véronique à feuilles de serpollet
véronique de Perse
véronique des champs
véronique petit chêne
verveine officinale
vesce cultivée
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Indigènes
ramenées
d'ailleurs dans la commune
Les suivantes ont été ramenées intentionnellement
d'autres endroits de la commune. Certaines y sont courantes, d'autres
en voie de disparition
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campanule
gantelée
circée de Paris
géranium pied de pigeon
knautia des champs
mauve musquée
orpin reprise
sanicle
sceau de Salomon multiflore
scrophulaire noueuse
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ivan
louette, mis en ligne le 11 août 2004
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